Nous portons un regard épicurien, décalé, amusé et urbain sur le fooding. Nous ne cherchons pas à sauver ni nourrir la planète. We cast an epicurean, quirky, joyful and urban eye over fooding. We do not aim at saving nor feeding the world.

mardi 1 mars 2011

Le Torokorobougou's band

Au début, c'est un peu compliqué à prononcer et puis on s'y fait... TO RO KO RO BOU GOU, il faut bien articuler pour se le mettre  en bouche.. A force, on retient le nom de ce quartier proche du fleuve Niger, à Bamako. 
Abraham est jardinier, Cécile cuisinière. Ce sont les pièces maîtresses du Torokorobougou's band..
La roquette, le thym, le basilic, les haricots verts, c'est Abraham qui les bichonne..
Le poisson en feuille de banane, le canard yassa, la confiture de mangue, le jus de gingembre, les croissants, les yaourts, le pain,..  c'est Cécile qui les mitonne.. elle est la reine, l'impératrice des fourneaux..
La mobylette chinoise, une Djakarta, essentielle pour aller acheter pamplemousses, avocats et autres poulets  de l'autre côté du fleuve.

4 commentaires:

  1. Cuisiner suppose une tête curieuse, un espritgénéreux et un coeur large. C'est tout toi Domino !

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  2. desperate expatriate in L.A.2 mars 2011 à 01:01

    Félicitations les filles !
    J'ai déjà l'eau à la bouche ...

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  3. Les succulentes chroniques gastronomiques souterraines hebdomadaires (voire heb - dromadaires) seront désormais lues à haute voie à la fin de chaque repas dominical chez les Novo.
    On s'en régale d'avance les papilles et les zygomatiques.

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  4. magali chabrelie24 mars 2011 à 12:58

    j'habite londres et j'adore cuisiner et manger...meme les trucs anglais ! alors des chroniques africaines ensoleillees, miam !
    bravo. Magali.

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