While Occupy Wall Street protests excesses of the capital markets, brokers in Hong Kong took to the streets last week to demonstrate against... cuts in the length of their lunch break, reports The Wall Street Journal. Indeed the Hong Kong Stock Exchange wants to reduce its lunchtime trading break from 90 minutes to one hour. Last year, the break was already cut by 30 minutes. As a matter of fact, no major Western Stock Exchange has a midday break and Singapore's stock exchange scrapped lunch last year while Tokyo trimmed the halt to one hour from 90 minutes. "Lunch also isn't just for eating," said Mrs. Choi, a tiny 80-year-old stockbroker wearing a black fur coat and carrying a leopard print handbag, leading the protest. "It's also when Hong Kong brokers go out and find clients. That's the only way they can get new business and make commissions." Among the protesters were also restaurant workers who serve hundreds of dim sum to brokers during their lunch break. Last year, when the break was reduced, revenue at lunch fell by as much as one-third.
Besides, a group of Occupy Hong Kong protesters—an offshoot of Occupy Wall Street, sympathized with the brokers: "Just because they are rich, it doesn't mean they agree to being exploited," Fascinating China!
Alors que le mouvement 'Occupy Wall Street' proteste contre les excès des marchés financiers, les courtiers de Hong Kong sont descendus dans la rue la semaine dernière pour préserver... le temps alloué à leur pause déjeuner, indique le Wall Street Journal. La bourse de Hong Kong veut en effet ramener de 1 h 30 à 1 h la pause de midi. L'an dernier cette pause a déjà été amputée de 30 minutes. De fait, aucune des grandes places financières occidentales n'observe de pause pour le déjeuner et Singapour l'a tout simplement supprimée l'an dernier tandis que Tokyo la ramenait de 1 h 30 à 1 h. "Le déjeuner ne sert pas seulement à manger" proteste la meneuse de la manifestation, Mme Choi, courtier de 80 ans, avec manteau de fourrure noir et sac à main léopard. "C'est aussi le moment où les courtiers rencontrent leurs clients. C'est la seule façon pour eux de générer de nouvelles affaires et des commissions". Parmi les manifestants se trouvaient également des restaurateurs qui servent des centaines de dim sum pendant les repas de midi. L'an dernier, quand la pause a été rabiotée de 30 minutes, leur chiffre d'affaires a baissé de 30 % au déjeuner.
En marge de la manifestation, un groupe 'Occupy Hong Kong' - émule de Occupy Wall Street, sympathisait avec les courtiers : "Ce n'est pas parce qu'ils sont riches qu'ils doivent accepter d'être exploités". Fascinante Chine !
Besides, a group of Occupy Hong Kong protesters—an offshoot of Occupy Wall Street, sympathized with the brokers: "Just because they are rich, it doesn't mean they agree to being exploited," Fascinating China!
Alors que le mouvement 'Occupy Wall Street' proteste contre les excès des marchés financiers, les courtiers de Hong Kong sont descendus dans la rue la semaine dernière pour préserver... le temps alloué à leur pause déjeuner, indique le Wall Street Journal. La bourse de Hong Kong veut en effet ramener de 1 h 30 à 1 h la pause de midi. L'an dernier cette pause a déjà été amputée de 30 minutes. De fait, aucune des grandes places financières occidentales n'observe de pause pour le déjeuner et Singapour l'a tout simplement supprimée l'an dernier tandis que Tokyo la ramenait de 1 h 30 à 1 h. "Le déjeuner ne sert pas seulement à manger" proteste la meneuse de la manifestation, Mme Choi, courtier de 80 ans, avec manteau de fourrure noir et sac à main léopard. "C'est aussi le moment où les courtiers rencontrent leurs clients. C'est la seule façon pour eux de générer de nouvelles affaires et des commissions". Parmi les manifestants se trouvaient également des restaurateurs qui servent des centaines de dim sum pendant les repas de midi. L'an dernier, quand la pause a été rabiotée de 30 minutes, leur chiffre d'affaires a baissé de 30 % au déjeuner.
En marge de la manifestation, un groupe 'Occupy Hong Kong' - émule de Occupy Wall Street, sympathisait avec les courtiers : "Ce n'est pas parce qu'ils sont riches qu'ils doivent accepter d'être exploités". Fascinante Chine !
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